DANEMARQUE : Tout le développement des parcs d’usines d’éoliennes à terre et en rivage est arête.
: Après étude de l’expérience danoise a cancellé tout plans de parcs éoliens.
Irlande :À décrété un moratoire sur tout nouveau développement de parcs éoliens.
Écosse et Pays de Galles :95% des usines à production éoliennes de terre et de rivage sont rejetées dues entre-autre aux impacts négatifs sur l’industrie du tourisme.
Espagne : En 2002 on a commencé à retirer toutes subventions. En 2006 on a terminé par décrets d’urgence, toutes subventions pour parc d’usines éoliennes. Quand les subventions furent cancellées la majorité des usines de parcs éoliens fermèrent parce que effectivement pas profitables.
Suisse :Coupe aussi les subventions. L’énergie éolienne étant trop onéreuse pour les bénifices.
Les pays-Bas : À rendu hors d’usage 90 turbines en 2004. Installe maintenant ses éoliennes de 8 à 40 km du rivage
Japon : Les fournisseurs Japonais d’électricité ont sérieusement limité l’achat d’énergie éolienne , et a effectivement fermé plusieurs usine de parcs éoliens.
Australie : À réduit le niveau d’énergie renouvelable, que ses fournisseurs distributeurs doivent achetés.
== Intéressant perte de valeur des maisons en France sur le site de la FED en France (http://environnementdurable.net/ )
J'ai trouvé cette nouvelle
http://videos.tf1.fr/jt-13h/quand-les-eoliennes-font-chuter-le-prix-de-l-immobilier-4500185.html
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== conférence désastre des mégas…=
http://www.lanouvelle.net/article-i371047-Une-veritable-catastrophe-croit-Raoul-Jomphe.html
**== http://www.radio-canada.ca/regions/gaspesie-lesiles/emissions/emissionV0.asp?pk=634
Entrevue radio 3 septembre 2009) Qu'arrive-t-il des parcs éoliens au point mort?
Cette semaine, le collègue Réjean Sirois nous rapportait que le projet de parc éolien aux Méchins était sérieusement compromis en raison du désistement de General Electric, qui devait fournir les turbines à Cartier Énergie. Aujourd'hui, on se demande ce qui risque d'arriver aux projets qui subissent le même sort, puisqu'il y en a d'autres.
Réjean Sirois s'est posé la question et nous en discutons avec le porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty.
