22- On peut pas parler d'éolien sans avoir une connaissance globale de l'offre et de la demande réaliste du marché énergétique québécois dont les surplus cumulent des sommets jamais atteints; dont les ressources renouvelables
ne sont qu'une nouvelle possibilité que la plupart des politiciens mettent à profit ...projetant une image alarmiste; se représentant eux-mêmes comme la solution, prioritairement par l'éolien,( les acteurs verts) . L'éolien subventionné,à été une solution éphémère à la sauvette en Europe qu'ils ferment et abandonnent aujourd'hui pour d'autres ressources renouvelables comme aux U.S. d'ailleurs .Tous savent que la limite ne dépassera jamais 2% des besoins. Tous sont principalement équipés de centrales nucléaires, du charbon et du pétrole bien sûr que là, l'éolien est un fondement plus réaliste, dans ces pays; entre-autre pour répondre aux besoins énergétiques urbains et industriels ; ce qui n'est pas le cas en milieu rural domestique d’ici...Le marché politique urbain et industriels, là ou se trouvent l'essence même de la production polluante sous toutes ses formes...rend ces citoyens particulièrement préoccupés de leur environnement . Sachons aussi que green peace confirme ainsi qu'un programme d'économie énergétique suffirait amplement pour tout l'éolien installé au Québec. Les principaux intéressés sont des individus des milieux visés en région, dont moins de 1% auraient ces turbines bruyantes ;ravage polluant de plus, dont la communauté riveraine assiégée, n'a pas à se sacrifier pour l'image de politiciens face à une mentalité urbaine anxieuse cherchant à s'en éloigner...tout en se libérant la conscience, face à dieu terre; d'ou l'effet beigne et l'étalement urbain produisant encore plus de pollution...Le développement du transport en commun de masse , le 4milliards de l'éolien, l'économie énergétique, sont les trois moyens que les urbains devraient s’activer à promouvoir, replaçant du même coût le capitalisme économique
à outrance qui nous ruine par l’indifférence et la complaisance. Le glamour, la solution vite faite.
Mais comme l'éolien est devenu l'affaire d'environ une douzaine de convoiteurs exploitants proche du pouvoir ... prenons ce qui passe ($)pendant que c'est bon.!.. à 2 et 3 fois le kilowatt-heure de la facture d'un résident moyen...ce même résident devra bientôt payer la facture de ce même écart? Un gros pourcentage du 1% qui aurait ces énormités sur leur terres ne sont eux-mêmes pas résidents et n'ont pas de maisons ... ni même de chalets proche de ces installations monstres, et bruyantes et tentent de l'imposer aux autres ..ça en dit gros : les choses parlent d'elles-mêmes... Alors vous direz c'est quoi l'affaire? reste plus que l'argent : les profits pour une infime minorité qui tentent de tout contrôler en dissipant le moindre signe de résistance; contre ceux qui défendent la réelle préservation des milieux écologiques naturels , hydroponiques et environnementaux de nos milieux ruraux, qui sont ceux à qui le développement et les valeurs , de toutes les ressources renouvelables de développements durables appartiennent dans le meilleur intérêt de la cohabitation et de la prospérité rurale . Ce droit appartient à ces citoyens occupants en communauté; comme le transport en commun est à Montréal. Ici on ne s'approprient pas leurs revenus. Le jeu a assez duré ..le territoire, les ressources, les profits, l'exploitation, le développement à échelle humanisée...ce droit appartient à ces occupants et non pas aux profits d'intérêts extérieurs d'environ 100millions à nos frais... Nous ne sommes pas des citoyens errants. Nous affirmons nos droits civils dans la plénitude de la prospérité environnementale humanisée ou conservation et développement local vont de pair. Comme un éditorialiste projette la position de son journal, il en a donc fait son choix territorial... calculant son impact propagandiste... visant bien sur ses propres intérêts....journalistiques?
C. Noël
